vendredi 2 novembre 2018

Bangkok, le 3 novembre 2018

Je m'envole ce soir pour Sydney… après un séjour sympathique mais où j'ai  le déplaisir de voir la ville se détériorer. Ils continuent de détruire les petits quartiers pleins de charme  construits au XIXe siècle pour les remplacer par leurs tours immondes! Ils ont tellement construit de logements pour les Farangs qu'il paraît que maintenant, ils n'arrivent plus à les vendre. Il faut dire que les prix ont bien grimpé et en plus d'après le journal, les visas pour retraités sont de plus en plus difficiles à obtenir. Déjà, l'ambassade américaine ne veut plus donner les papiers nécessaires pour les obtenir.





J'ai vu "mon"  quartier se transformer d'année en année. Cette fois-ci, c'est tout le lot de maisons de la rue qui servait de raccourci pour aller vers qui a été détruit. Tous les magasins sont partis : ma couturière, les boutiques où l'on pouvait laver son linge…. les marchands de livres d'occasion, les petits bars et les tatoueurs et je ne sais pas quoi encore! Quelle horreur vais-je trouver lors de mon prochain séjour!

Je parlais de la grimpette des prix de l'immobilier…. mais il en est de même pour tout. Dans le quartier, les prix de la nourriture restent encore acceptables mais à Central; le prix d'un repas est le même que ce que je paie à Paris dans mon quartier du 19e. Et tous mes copains thaïs le disent. Je crois qu'il vont perdre pas mal de monde! 

mardi 30 octobre 2018

Bangkok, le 31 octobre 2018







Retour à Bangkok car plein de gens à voir. D'abord les amis de l'Ile des Pins qui font un stop-over dans la  capitale thaïlandaise avant de rejoindre leurs pénates.

Nous avons passé dimanche ensemble et sommes allés à Taling Chan, un petit marché flottant à la périphérie de Bangkok. Ce n'est pas du tout touristique. Il n'est ouvert que le week-end et les visiteurs sont essentiellement des familles Thaïs qui viennent déguster des produits de la mer et de la rivière.

Il y a bien sûr un petit marché à l'entrée où l'on peut acheter toutes sortes de choses…. l'Asie!



vendredi 26 octobre 2018

Kho Kut, le 25 octobre 2018



Petite île près de la frontière du Cambodge, proche de Kho Chang, Kho Wai, etc... Elle a la réputation d'être tranquille…. Mais le développement va bon train et tout le long des plages des bungalows s'agglutinent et certains mettent maintenant de la musique.

C'est loin de Bangkok et les bangkoksiens ne viennent pas trop nombreux. Ils peuvent bien sûr prendre un avion pour Trat sur le  continent, mais ils ne sont pas rendus. Il y en a donc peu…. Mais malgré tout lorsqu'il y a des week-ends prolongé, ils viennent et là alors, c'est des karaokés qui inondent de boumboum tout le voisinage!

C'est une très jolie île montagneuse avec des plantations d'hévéas à l'intérieur,



 une jolie petite rivière avec la chute d'eau dont les Thaïs sont si friands!



Les plages sont magnifiques : sable fin et tout est très propre pour le moment. Il faut dire qu'il y a peu de monde. L'île "ferme" pendant la saison des pluies et "rouvre" en gros début octobre et la grosse saison est naturellement décembre-janvier comme dans le reste de la Thaïlande.




Je n'ai pas vu un poisson ni le moindre petit massif de corail. Apparemment, d'après ce que l'on m'a  dit, il faut aller dans les îles ou îlots environnants pour en trouver. Je pensais aller faire un "tour" avec un bateau, mais finalement, j'ai pensé que ce n'était pas la peine puisque dans quelques semaines, je serai à Nouméa et j'irai voir "mes" poissons à la Baie des Citrons.

Je vais plutôt profiter de cette belle rivière et des kayaks qui sont mis à ma disposition par la Guest House.






lundi 30 juillet 2018

Pujaut, le 17 juin 2018 (Avignon)



Je suis arrivée hier après midi chez L. et E. qui sont des amis de toute l'équipe de l'Ile des Pins mais que je n'ai rencontré que récemment et qui m'avaient proposé de m'arrêter chez eux lorsque je serai dans le Sud de la France. J'ai donc profité de l'occasion de faire une petit stop-over lors de ma remontée de la Corse vers Paris.

Ils ont une magnifique maison dans les "collines" mais les cigales ne  chantent pas encore! Il n'a pas fait assez chaud!



Hier soir, avant de nous mettre à table nous sommes allés faire un petit tour à Avignon centre où le soleil couchant éclairait d'une façon extraordinaire le Palais des Papes. Je suis passée tant de fois devant cette merveille architecturale dans ma jeunesse... mais elle ne cesse de m'enchanter.


Arbellara, le 12 juin 2018

Les jours passent vite et déjà, ce soir je vais quitter cette île de BEAUTE… Et c'est vrai, il n'y a pas usurpation de nom.






Tous ces derniers jours, nous avons continué à sillonner les petites routes du Sud de la Corse.






Samedi, nous sommes allés à Bonifacio, petite ville tout au Sud de la Corse, qui se dresse majestueusement sur un éperon rocheux.

lundi 18 juin 2018

Arbellara, le 9 juin 2018






Ce que j'aime bien ici, c'est que les gens ne se laissent pas faire. Nous l'avons déjà vu, sur les panneaux de signalisation, ils effacent les noms en français.... et la D.D.E. a beau s'acharner ils continuent. Les dos d'ânes qui ne sont certes pas mes amis sont "dévissés" et mis sur le côté de la route. Seulement un côté d'ailleurs..... ils n'ont pas le temps ou ressentent la fatigue?


Le lendemain, nous sommes parties à pied avec C. au village voisin de Fozzano situé à 3-4 kilomètres d'Arbellara. Promenade bien agréable le long d'une de ces petites routes de montagne. Les champs sont remplis de fleurs car il a beaucoup plu cette année et d'ailleurs il pleut encore.

Fozzano est un autre de ces merveilleux villages corses avec ses maisons sobres en pierres sèches, du granit rose.

Ce qui fait la renommée de Fozzano, c'est Colomba Bartoli, née Caraballi qui mène son clan contre les Durazzo. Une vendetta qui a duré des années jusqu'à ce que le fils de Colomba, François soit tué dans une embuscade en 1833. Ce fait a un retentissement énorme et amène les plus hautes autorités de l'île à s'interposer entre les deux familles. Et après de nombreuses années de lutte, Colomba n'accepte de déposer les armes qu'avec la signature d'un traité en présence de l'évêque et du préfet.

Cette vendetta a inspiré Prosper Mérimée pour son roman "Colomba" qui parut en 1840. Il avait en effet visité la Corse en 1839 en tant qu'Inspecteur des Monuments Historiques. Il avait été rendre visite à la fameuse Colomba et lui avait même demandé la main de sa fille qui était d'une grande beauté,  qui d'ailleurs la lui refusa.

Hier, le temps était vraiment pluvieux et de plus la famille avait un "enterrement". En fait les cendres étaient arrivées avec le fils du défunt et tout le village était réuni pour aller déposer l'urne dans le caveau familial au cimetière. Après la cérémonie, nous avons passé une fin de journée très tranquille.






Aujourd'hui, nous avons ramené le fils du défunt à Ajaccio pour qu'il puisse prendre le ferry qui le ramènerait sur le continent. Nous en avons profité pour visiter la ville.

Ajaccio, qui compte quelque 66.000 habitants est la capitale de la Corse, mais c'est surtout la ville qui a vu naître Napoléon en 1769. Tout dans la ville rappelle cet empereur des français!

Joli petit port et le  ciel est au bleu ce qui embellit les sites. Nous faisons le tour de la ville, déjeunons dans un petit café.... et ils ne manquent pas autour de la Place Diamant, lieu stratégique de la ville. Il y a pas mal de touristes il faut  dire.

Il faut attendre l'après-midi pour visiter la maison natale de Napoléon car ils font la pause déjeuner ici! Visite très intéressante et qui m'apprend de nombreuses choses sur cet homme, hors du commun, il faut bien le dire. Je croyais que Napoléon était issu d'une famille modeste, mais pas du tout : sa mère Letizia, appartenait à la noblesse italienne et son père était assesseur italien à la juridiction d'Ajaccio.

Cette maison, qui se trouve rue Saint-Charles en plein cœur d'Ajaccio  a une longue histoire. C'est la Casa Bozzi qui est passée dans les mains des Buonaparte en 1682, suite à son mariage avec Maria Bozzi. Au départ, les Buonaparte ne possédaient que la moitié de la maison, l'autre moitié appartenant toujours aux Bozzi mais au cours des années de nombreuses annexions et aménagements ont eu lieu. C'est là même que Napoléon est né et a passé son enfance.

La dernière grande restauration a été effectuée par Napoléon III, les travaux ayant été suivis par Alexis Paccard, architecte du Palais de Fontainebleau. L'empereur et l'Impératrice Eugénie de Montijo sont venus en septembre 1860 et ayant trouvé la maison vide, ils se sont empressés de racheter les meuble de sa grand-mère aux descendants Levie-Ramolino.

Le Prince Victor Bonaparte a donné la maison à l'Etat en 1923 et elle est devenue un Musée National en 1967.





Nous avons passé un long moment dans ce musée fort intéressant puis nous avons pris la route des Sanguinaires, un archipel de 4 îles à l'entrée du Golfe d'Ajaccio.

Une parcours est aménagé pour permettre aux vacanciers de se promener. Il y a également des sentiers à travers le maquis. Nous en avons emprunté un et avons pu admirer le paysage grandiose. Il fait un temps radieux et la visibilité est excellente. Nous voyons une autre de ces fameuses tours génoises dont la côte corse est constellée. Leur origine remonte au XVe siècle, lorsque les turcs prennent Constantinople et que les Barbaresques commencent à faire des razzias sur les côtes.

Pour se défendre, les habitants demandent à la République de Gênes la construction de fortifications  et ces fameuses tours sont alors bâties tout le long de la côte, l'une en voyant deux autres de façon à communiquer avec des feux! Système ingénieux s'il en fut. Au début du XVIIIe siècle, l'île à 120 tours…. dont 67 sont encore debout maintenant. Des bâtisseurs ces génois!


vendredi 15 juin 2018

Arbellara, le 6 juin 2018

Le temps ne ressemble pas vraiment à un temps du mois de juin en Corse! Le matin, il fait vraiment frais et ce n'est que dans l'après-midi que le soleil se lève. Mais aujourd'hui, cela ne s'est pas vraiment levé!

Pour en revenir à hier matin, encore un temps mitigé mais il ne fait pas trop froid. Mais, nous, ce qui nous intéresse, c'est la livraison de la valise. Nous sommes donc fins prêts dès huit heure du matin. Enfin, vers 9.00 H, nous avons un appel du prestataire..... Non, il ne peut pas monter à Arbellara mais nous donne rendez-vous à Propriano sur le parking de Casino??????? Vive Air France!

Nous sommes donc obligés d'aller à Propriano récupérer mon bien pratiquement avec 48 h de délai. Elle n'est pas abîmée mais il est certain que je vais faire une lettre de réclamation et demander à être indemnisée pour cette mauvaise aventure.



L'après-midi, nous reprenons la route, toujours aussi pittoresque mais sinueuse pour nous rendre à Cucuruzzu, un site préhistorique qui a été découvert assez récemment, en 1963, nous dit-on. Cette découverte tardive est due au fait que l'endroit était couvert de végétation.

C'est un site qui date de l'âge de Bronze et qui a donc plus de 4.000 ans. Il a été classé monument historique et inscrit sur la liste des 100 sites historiques de la Méditerranée. L'endroit est couvert de rochers, certains sont énormes et les habitants se servaient de leurs anfractuosités pour déposer leurs morts. Des murs de pierres, cernant des "propriétés" sont très impressionnants.




Au centre, l'on découvre le "casteddu" ... lieu de vie de ces hommes de la préhistoire.














De ce château, l'on découvre le paysage montagneux environnant, dont les fameuses aiguilles de Bavella







lundi 11 juin 2018

Arbellara, le 5 juin 2018 (2)



table est bonne chez les amis.... C. est une excellente cuisinière et en plus les charcuteries corses sont délicieuses... Et le vin est excellent. De plus, je suis tombée chez des experts!

Mais, à 14.00 h toujours aucunes nouvelles de la valise. C. rappelle encore une fois le numéro de la plateforme.... Ils n'en savent pas plus. Mais cela prend du temps et quand on est venu pour visiter une île.... on aimerait bien ne pas passer son temps au téléphone.

Nous partons donc faire une petit périple dans l'après-midi. Les routes sont bien tortueuses, j'avais déjà apprécié le jour de mon arrivée le trajet de l'aéroport d'Ajaccio jusqu'à Arballera qui avait pris une heure et demie alors qu'il n'y a que 80 kilomètres environ. J'admire J.L. qui conduit des heures sur ces routes, qu'il connaît bien sûr, mais quand même.





Nous passons par Belvédère, Campomoro, Grossa où la particularité est que le clocher se trouve à quelques dizaines de mètres de l'église.



Nous allons ensuite à Bilia, où toute une équipe de sculpteurs sur bois a animé une école de sculpture toute la semaine, juste à côté de l'église.





Puis Foce Di Bilia, Sartène, que nous contournons car il est prévu que nous y reviendrons plus tard et enfin un arrêt au pont gênois. Ces ponts ont été construits entre le XIIIe et le XVIIIe siècles sous l'occupation de Pise  et de Gênes. Les pierres sont magnifiques... et solides. On peut dire que les gênois savaient construire car après plusieurs siècles ils sont toujours debout.

Et puis, nous rentrons à Arballera après ces balades fantastiques! Du côté de Air France, toujours rien. Je commence à vraiment m'inquiéter car je n'ai pu prendre aucun de mes traitements habituels depuis maintenant presque 2 jours.

Nous dînons, toujours la bonne chère, mais pas de nouvelles d'Ajaccio! Enfin, C. vers 22.00 h décide de les appeler..... Et merveille, on ne peut pas le  croire, la valise est enfin après au moins 5 vols de Marseille arrivée à Ajaccio. Et on doit nous la livrer le lendemain! Hourrah!



dimanche 10 juin 2018

Arbellara, le 5 juin 2018




Arbellara est un joli petit village dans la montagne à une dizaine de kilomètres de Propriano. J.L. est originaire de ce village.... et pratiquement tous les autres habitants du lieu sont ses cousins. C. vient d'une autre région de France. Nous nous sommes connus en Rhodésie.... il y a quelques dizaines d'années et nous nous rencontrons de temps en temps au gré de nos déplacements et de leurs occupations. Nous nous étions vus l'année dernière à Paris pour un dîner et je ne sais plus pourquoi, nous avions parlé de la Corse et ils m'avaient proposé de venir les voir..... Et voilà, c'est chose faite. Ils ont une jolie maison dans le centre du village.















Je suis vraiment ravie d'être ici. Hier matin, après avoir en vain attendu la livraison de la valise et avoir téléphoné au numéro donné par l'aéroport d'Ajaccio, qui est en fait un numéro qui aboutit sur une plateforme où, bien entendu l'opérateur qui se trouve on ne sait où doit se renseigner.... longuement.... pour finalement dire que l'on ne sait rien. La valise est-elle toujours à Marseille ou bien dans l'un des nombreux vols???? Donc disais-je après toutes ces formalités, J.L. me fait visiter le village. 147 habitants, c'est donc vite fait. Au centre, bien entendu la petite église, bâtie au XVIIIe siècle sur l'emplacement d'un édifice plus ancien, qui est bien jolie et à côté, une fontaine qui coule tout le temps et où nous remplissons nos bouteilles.



Evidemment, nous rencontrons plusieurs cousins et la visite prend son temps.....

Arbellara, dont je vous ai posté le panneau indicateur , troué de plusieurs impacts de chevrotine et où le nom français a complètement été effacé pour ne laisser apparaître que le nom corse qui est Arbiddali. Les autonomistes et indépendantistes veillent. Il était donc occupé dès le Moyen Age mais en 1583, il fut pillé par les Turcs. Les villageois s'étaient réfugiés dans la Tour Carré qui domine toujours le village mais ayant mis le feu accidentellement au dépôt de poudre, ils durent se rendre et 180 personnes furent tuées ou capturées. A la suite de cela, le village fut déserté.


jeudi 7 juin 2018

Arbellara, le 4 juin 2018




Après un voyage plein d'évènements, me  voilà à Arbarella, un petit village magnifique. Quand je dis plein d'évènements.... il n'y a eu heureusement rien  de grave.

J'avais réservé mon billet Paris - Ajaccio il y a bien un mois de Nouméa et je devais  donc partir d'Orly à 16.05. Dès le matin, problème car c'est un de ces fameux jours de grève de la SNCF programmés pour plusieurs mois. Je ne peux donc pas prendre le RER C qui ne roule pas!!! Sur Internet, je vois que le bus 183 qui part de la Porte de Choisy va à Orly.... Je pars de bonne heure car je ne sais pas combien de temps tout cela va prendre.

J'arrive donc à Porte de Choisy (et ce n'est pas à côté) et je trouve bien mon bus 183. Je monte à bord, mais celui-là ne va pas à l'aéroport.... Il faudra donc que je change à la Mairie. C'est loin d'être un bus direct..... il fait tous les quartiers. Enfin, j'arrive à l'aéroport après deux heures et demie de transport.

Je vais donc voir le panneau des vols au Départ! Pas d'Ajaccio en vue! Je me renseigne au Informations qui me disent que je ne suis pas dans le bon hall et qu'il faut que je prenne la navette pour aller dans le hall Ouest! Rien n'était marqué sur mon billet. Mais, bon, je prends la navette et arrive dans ledit hall. Là encore, pas d'Ajaccio sur le tableau des départs. Je vais aux "Informations" où le préposé me dit qu'il a bien un vol Paris-Ajaccio, mais qu'il était ce matin à 10.30h ????? Il me conseille d'aller me renseigner au comptoir Air France. Ce que je fais.

Une dame très gentille (ils le sont tous maintenant - on les a bien formés) pianote sur son clavier et me dit qu'en effet le vol est bien parti à 10.30 h et s'étonne que je n'ai pas reçu de SMS. Vérification : oui on m'a bien envoyé un SMS....... mais sur mon téléphone de Nouméa que je ne risque pas de recevoir ici.

Et qu'est-ce que je vais faire? Je n'ai aucune envie de retourner à Paris avec toutes ces grèves..... La dame continue à pianoter et me dit qu'il y a un vol tout de suite mais avec une correspondance à Marseille. Je m'empresse d'accepter et l'on me fait passer en coupe-file et me voilà partie. J'arrive à contacter J.L. et C. en Corse pour leur annoncer le changement.

Marseille : il faut repasser par le Contrôle, mais enfin nous partons et me voilà à Ajaccio à 19.00. Ils sont là pour m'attendre. Nous sommes tous contents... et nous attendons la valise qui n'arrive pas!

Après avoir attendu jusqu'à ce que la dernière valise soit sortie, nous allons au comptoir des réclamations. Nous sommes quatre dans le même cas.... Ceux qui ont transité par Marseille. On nous donne une pochette avec T.Shirt, dentifrice, etc. et un document pour la valise égarée et l'on nous assure que demain un transporteur nous la livrera à Arbarella. Elle devrait arriver au dernier vol de ce soir, au pire au premier vol de demain matin..... ELLE AURAIT DU!


mardi 5 juin 2018

Paris, le 2 juin 2018

Mes promenades dans Paris continuent et évidemment, je suis allée au théâtre. Grâce à l'Officiel des Spectacles et au Kiosque de la Madeleine où l'on peut acheter ses places pour le jour même et à des prix réduits, je suis allée voir avec A.M. "Silence, On Tourne" au Théâtre Fontaine dans la rue du même nom.

C'est une pièce écrite par Patrick Haudecoeur, le même qui avait écrit "Froufrou les Bains" il y a quelques années..... Et nous nous sommes régalées! J'ai ri comme je n'avais pas ri depuis bien longtemps! Si vous en avez le temps et les moyens (je veux dire par là si vous passez par Paris), ne loupez pas ce spectacle hilarant, mené par des acteurs meilleurs les uns que les autres!

Le spectacle terminé, nous sommes allées nous désaltérer dans un café Place Pigalle, en face du Moulin Rouge.

 

Paris, le 1er juin 2018

Me voilà arrivée depuis presque une semaine.... Et je n'ai pas chômé! Mais je me suis également beaucoup promené dans mon quartier et ailleurs....





Vers le canal Saint-Martin





et dans les rues avoisinantes.