Je suis revenue à pieds de Intramuros, car je n'avais pas envie de rester encore une heure ou plus bloquée dans les bouchons. Au moins, à pieds on avance, mais qu'est-ce-qu'on avale comme fumées d'échappement des voitures! Et moi, qui ai oublié tous mes masques à Nouméa!
J'ai donc longé la Baie de Manille, le long de laquelle se trouve l'ambassade américaine. Ils sont en train de construire une grande promenade qui paraît fort agréable au bord de la mer, mais pour l'odeur, on peut allègrement ajouter le « de ». D'ailleurs dans toute la ville, il flotte une odeur d'urine et autres.... Pourtant, des efforts considérables sont faits : les feuilles sont soigneusement ramassées, pas de papiers qui trainent.... mais avec une telle population, que faire?
Je suis donc retournée à Makati.... boire un bon demi chez Lolo un français qui a ouvert un restaurant dans le quartier. Puis après avoir un peut traîné dans les divers bars plein de go-go girls avec leurs vieux matous occidentaux pour écouter les divers orchestres (et ils sont bons) qui s'y produisent, j'ai remonté mes 7 étages! Ce matin, j'ai un peu traîné dans le quartier parlant avec des locaux, qui sont très sympathiques et qui ont un énorme avantage : ils parlent tous couramment anglais, américain devrais-je dire. On peut donc discuter de tout avec le premier venu. Cela change de l'Asie du Sud-Est! Depuis le début, je vais prendre mon petit déjeuner dans le même snack, et ça y est, on me connaît comme une vieille habituée! Je prépare les valises, amène celles (dont celles de P.) qui doivent rester à Manille chez Lolo puis après une promenade à Rockwell (un nouveau centre commercial très chic), j'affronte le trafic de Manille pour aller prendre un bus qui m'amènera à Batangas, le port de Manille où je dois prendre un bateau pour Boracay.
J'ai donc longé la Baie de Manille, le long de laquelle se trouve l'ambassade américaine. Ils sont en train de construire une grande promenade qui paraît fort agréable au bord de la mer, mais pour l'odeur, on peut allègrement ajouter le « de ». D'ailleurs dans toute la ville, il flotte une odeur d'urine et autres.... Pourtant, des efforts considérables sont faits : les feuilles sont soigneusement ramassées, pas de papiers qui trainent.... mais avec une telle population, que faire?
Je suis donc retournée à Makati.... boire un bon demi chez Lolo un français qui a ouvert un restaurant dans le quartier. Puis après avoir un peut traîné dans les divers bars plein de go-go girls avec leurs vieux matous occidentaux pour écouter les divers orchestres (et ils sont bons) qui s'y produisent, j'ai remonté mes 7 étages! Ce matin, j'ai un peu traîné dans le quartier parlant avec des locaux, qui sont très sympathiques et qui ont un énorme avantage : ils parlent tous couramment anglais, américain devrais-je dire. On peut donc discuter de tout avec le premier venu. Cela change de l'Asie du Sud-Est! Depuis le début, je vais prendre mon petit déjeuner dans le même snack, et ça y est, on me connaît comme une vieille habituée! Je prépare les valises, amène celles (dont celles de P.) qui doivent rester à Manille chez Lolo puis après une promenade à Rockwell (un nouveau centre commercial très chic), j'affronte le trafic de Manille pour aller prendre un bus qui m'amènera à Batangas, le port de Manille où je dois prendre un bateau pour Boracay.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire