Hier, levée de bonne heure, je suis allée déjeuner d'un excellent croissant et d'un bon café dans la boulangerie voisine, tenue par un français. Toujours pas mal de restos français d'ailleurs, tenus la plupart du temps par des couples mixtes. Les italiens ont également fait leur trou avec leurs pizzas et leurs spaghettis!
Les appellations en français existent toujours, et de nombreux Lao de ma génération parlent français couramment. D'ailleurs, le policier des frontières avant-hier parlait très bien français. Ils ont également gardé "rue" et ont mis des panneaux un peu partout. C'est facile de s'y retrouver maintenant, quoique Vientiane ne soit pas si compliquée.
Après cela, j'ai encore été faire un tour du centre ville et je suis passée par le Wat Mixai qui offre peu d'intérêt. Peintures neuves représentant essentiellement les étapes de la vie du Bouddha, mais ces jardins qui entourent toujours les temples sont vraiment agréables au milieu de la ville.
Enfin, je suis partie en direction du Wat Pha That Luang, éloigné d'environ 4kms de mon hôtel. Je suis partie tranquillement, j'ai atteint Lan Xang, les Champs Elysées laotiens avec, à une extrémité, le Palais Présidentiel
et à l'autre, Patuxai, copie asiatique de l'Arc de Triomphe de Paris.
Ce monument est considéré comme le plus important au Laos puisqu'il est un symbole du bouddhisme et de la royauté! La légende dit qu'au 3ème siècle avant J.C., un stupa a été élevé car des missionnaires avaient enterrés un morceau d'os du Bouddha. En fait, les archéologues n'ont rien trouvé de tel, mais ils semble néanmoins qu'il y ait eu un monastère Khmer.
Aujourd'hui, les constructions paraissent trop "flambant neuf" mais il paraît (d'après des récits d'occidentaux ayant visité les lieux) qu'au 16e et 17e siècle, les divers stupas et temples, recouverts d'or étaient magnifiques. Le roi Setthathirath, en déplaçant la capitale du royaume Lan Xan de Luang Prabang à Vientiane au milieur du 16e siècle avait fait construire Pha That Luang paré de toutes les richesses du royaume.
Les appellations en français existent toujours, et de nombreux Lao de ma génération parlent français couramment. D'ailleurs, le policier des frontières avant-hier parlait très bien français. Ils ont également gardé "rue" et ont mis des panneaux un peu partout. C'est facile de s'y retrouver maintenant, quoique Vientiane ne soit pas si compliquée.
Après cela, j'ai encore été faire un tour du centre ville et je suis passée par le Wat Mixai qui offre peu d'intérêt. Peintures neuves représentant essentiellement les étapes de la vie du Bouddha, mais ces jardins qui entourent toujours les temples sont vraiment agréables au milieu de la ville.
Enfin, je suis partie en direction du Wat Pha That Luang, éloigné d'environ 4kms de mon hôtel. Je suis partie tranquillement, j'ai atteint Lan Xang, les Champs Elysées laotiens avec, à une extrémité, le Palais Présidentiel
et à l'autre, Patuxai, copie asiatique de l'Arc de Triomphe de Paris.
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En chemin, j'ai visité de nouveaux temples et je suis enfin arrivée à Pha That Luang.
Ce monument est considéré comme le plus important au Laos puisqu'il est un symbole du bouddhisme et de la royauté! La légende dit qu'au 3ème siècle avant J.C., un stupa a été élevé car des missionnaires avaient enterrés un morceau d'os du Bouddha. En fait, les archéologues n'ont rien trouvé de tel, mais ils semble néanmoins qu'il y ait eu un monastère Khmer.
Aujourd'hui, les constructions paraissent trop "flambant neuf" mais il paraît (d'après des récits d'occidentaux ayant visité les lieux) qu'au 16e et 17e siècle, les divers stupas et temples, recouverts d'or étaient magnifiques. Le roi Setthathirath, en déplaçant la capitale du royaume Lan Xan de Luang Prabang à Vientiane au milieur du 16e siècle avait fait construire Pha That Luang paré de toutes les richesses du royaume.
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