Je suis donc arrivée avant-hier soir à Ubud. Avion Labuan Bajo - Denpasar, enfin en passant par Kupang et en changeant d'avion : au total 5 heures de voyage alors que le vol normal ne prend pas une heure. Puis un taxi pour Ubud étant que nous sommes arrivés tard. Plus de bus. J'allais me décider à payer la somme qu'ils demandaient quand une jeune espagnole me dit que je pourrais bien aller avec eux et partager les frais. Evidemment, j'étais d'accord et chance, les responsables du bureau de location également. D'habitude ils refusent ce genre d'arrangements. Il faut toujours gagner le max sur le dos des occidentaux.
Je suis donc arrivée vers 21.00 h aux "Ayu 2 Bungalows" où j'avais réservé une chambre à l'avance à cause de cette haute saison qui n'en finit pas. J'ai eu de la chance. C'est très bien. On passe par un dédale de maisons balinaises et l'on arrive dans ce joli endroit avec une petite piscine. Le personnel est adorable, surprenant dans ce monde si touristique. Et pour $ 15 la nuit, petit-déjeuner compris, on ne peut pas se plaindre.
Je suis bien dans ce losmen en plein centre d'Ubud. Dès que l'on regagne les rues principales, c'est l'enfer! Je dis toujours que qui veut détruire une culture doit aller prendre des cours à Bali. Les rues sont une suite de magasins de souvenirs pour touristes, de locations de motos, de restaurants, etc... et une circulation assourdissante de voitures et de motos ne cesse de les parcourir. Les trottoirs sont étroits et plein d'embûches, de trous béants. Bref, le piéton doit faire vraiment attention.
Je suis donc arrivée vers 21.00 h aux "Ayu 2 Bungalows" où j'avais réservé une chambre à l'avance à cause de cette haute saison qui n'en finit pas. J'ai eu de la chance. C'est très bien. On passe par un dédale de maisons balinaises et l'on arrive dans ce joli endroit avec une petite piscine. Le personnel est adorable, surprenant dans ce monde si touristique. Et pour $ 15 la nuit, petit-déjeuner compris, on ne peut pas se plaindre.
Je suis bien dans ce losmen en plein centre d'Ubud. Dès que l'on regagne les rues principales, c'est l'enfer! Je dis toujours que qui veut détruire une culture doit aller prendre des cours à Bali. Les rues sont une suite de magasins de souvenirs pour touristes, de locations de motos, de restaurants, etc... et une circulation assourdissante de voitures et de motos ne cesse de les parcourir. Les trottoirs sont étroits et plein d'embûches, de trous béants. Bref, le piéton doit faire vraiment attention.
La photo ne donne qu'une partie de la réalité. Mais lorsque l'on regarde bien, on arrive à voir entre tous ce falmigondis des traces de la culture balinaise.
des constructions ....
ou des offrandes sur le bord des trottoirs ou sur des murs. Et le cérémonial des femmes qui les déposent. Mais à part cela, on pourrait bien être n'importe où. Le Ubud d'il y a 35 ans, lieu magique, plein de mystères, envoûtant et tout simplement beau, n'est plus!
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire