Me revoilà au Dormy Hotel, cette fois-ci, c'est moins cher, on est dimanche soir!! 1.500 yens de moins tout de même. Et toujours le café à discrétion et la soupe de nouille le soir... Sans oublier le Onsen, sur le toit de l'immeuble!
Hier, le temps s'étant un peu éclairci, je me décide à prendre le ferry pour Rishiri, et j'espère également pouvoir aller dans l'île voisine, Rebun. Je suis arrivée vers 3.00 h et l'office du tourisme m'a indiqué un Mingushu tout près du ferry, pas cher et ils ont téléphoné et la dame est venue me chercher en voiture! Après de longues discussions (si l'on peut parler de discussions avec des gens qui savent 10 mots d'anglais... mais ils font tellement d'efforts et moi aussi, que nous arrivons à nous comprendre), il est décidé que la fille de la maison m'emmènera au Onsen à 7.30 h. Ce qu'elle fait à l'heure très précise. Ha que ces onsen sont agréables!
Ce matin, le temps était à peu près correct et je suis partie faire le tour de l'île. J'ai d'abord pris un bus et suis descendue dans un village de pêcheurs, (en fait toute l'île est une succession de petits villages de pêcheurs) pour contiuer la route à pieds, histoire d'admirer le paysage. Au milieu de l'île, s'élève le mont Rishiri à 1.721 m. C'est un volcan éteint et sa forme rappelle le mont Fiji, et les japonais l'appellent d'ailleurs souvent Rishiri-Fiji. J'ai juste le temps d'apercevoir le sommet le matin, ensuite les nuages viendront le couvrir.. Mais la nature est belle!
Il n'y a pas un chat dans les rues et très peu de voitures sur la route principale. Du varech sèche un peu partout dans les villages : sur des fils, sur les trottoirs, dans des champs de galets... C'est bien vrai que c'est la principale production locale. Il y a aussi du poisson qui sèche, mais c'est plus rare.
Sur l'un des petits ports, des pêcheurs nettoient leur "pêche", un gros tas de coquilles Saint-Jacques, comme ils voient que je les regarde, ils m'en offrent une ... Toute fraîche! Quel goût sublime. Moi qui adore ces coquillages-là!
Je me promène toute la journée... mais voilà que vers la fin de l'après-midi, la pluie est de nouveau au rendez-vous. Le prochain bus est dans 2 heures... Je fais du stop et une dame me ramène à mon mingushu... où la patronne nous fait du café et m'offre divers petits gateaux... Je prends finalement le dernier ferry avec son mari qui regagne Sapporo pour son travail. Les éléments sont déchainés : pluie torrentielle, éclairs, tonnerre... et cela dure au moins quatre heures. Etonnament, la mer n'est pas trop agitée et la traversée se passe sans problèmes.... Je ne serai pas allée à Rebun!
Hier, le temps s'étant un peu éclairci, je me décide à prendre le ferry pour Rishiri, et j'espère également pouvoir aller dans l'île voisine, Rebun. Je suis arrivée vers 3.00 h et l'office du tourisme m'a indiqué un Mingushu tout près du ferry, pas cher et ils ont téléphoné et la dame est venue me chercher en voiture! Après de longues discussions (si l'on peut parler de discussions avec des gens qui savent 10 mots d'anglais... mais ils font tellement d'efforts et moi aussi, que nous arrivons à nous comprendre), il est décidé que la fille de la maison m'emmènera au Onsen à 7.30 h. Ce qu'elle fait à l'heure très précise. Ha que ces onsen sont agréables!
Ce matin, le temps était à peu près correct et je suis partie faire le tour de l'île. J'ai d'abord pris un bus et suis descendue dans un village de pêcheurs, (en fait toute l'île est une succession de petits villages de pêcheurs) pour contiuer la route à pieds, histoire d'admirer le paysage. Au milieu de l'île, s'élève le mont Rishiri à 1.721 m. C'est un volcan éteint et sa forme rappelle le mont Fiji, et les japonais l'appellent d'ailleurs souvent Rishiri-Fiji. J'ai juste le temps d'apercevoir le sommet le matin, ensuite les nuages viendront le couvrir.. Mais la nature est belle!
Il n'y a pas un chat dans les rues et très peu de voitures sur la route principale. Du varech sèche un peu partout dans les villages : sur des fils, sur les trottoirs, dans des champs de galets... C'est bien vrai que c'est la principale production locale. Il y a aussi du poisson qui sèche, mais c'est plus rare.
Sur l'un des petits ports, des pêcheurs nettoient leur "pêche", un gros tas de coquilles Saint-Jacques, comme ils voient que je les regarde, ils m'en offrent une ... Toute fraîche! Quel goût sublime. Moi qui adore ces coquillages-là!
Je me promène toute la journée... mais voilà que vers la fin de l'après-midi, la pluie est de nouveau au rendez-vous. Le prochain bus est dans 2 heures... Je fais du stop et une dame me ramène à mon mingushu... où la patronne nous fait du café et m'offre divers petits gateaux... Je prends finalement le dernier ferry avec son mari qui regagne Sapporo pour son travail. Les éléments sont déchainés : pluie torrentielle, éclairs, tonnerre... et cela dure au moins quatre heures. Etonnament, la mer n'est pas trop agitée et la traversée se passe sans problèmes.... Je ne serai pas allée à Rebun!
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